Souvenir d’une crème de marrons-chocolat

Souvenir d’une crème de marrons-chocolat

J’ai mis plusieurs années à reconstituer cette recette souvenir d’enfance ….

Pour la crème de marrons

  • 50 g de chocolat fondu avec 2 ou 3 cuillères de crème fleurette
  • 1 petite boite de purée de châtaignes (non sucrée)
  • 50 g de sucre + extrait de vanille ou sucre vanillé

Pour la ganache

  • crème fleurette
  • chocolat à cuire

Faire bouillir la crème fleurette et y jeter les carrés de chocolat à cuire. Remuer hors du feu jusqu’à l’obtention d’une crème fluide, comme pour faire la ganache.

Ajouter la purée de châtaignes et le sucre et bien écraser au presse purée pour obtenir une purée onctueuse. Ajouter de la crème au besoin.

Remplir les coupes avec cette crème et couvrir d’un peu de ganache.

Mettre au frais !

Cette crème de marrons convient parfaitement pour la bûche ou le gâteau aux marrons

 

 

 

Asperges vertes & co

Asperges vertes & co

Si vous avez la chance de pouvoir choisir vos asperges vertes fraîchement cueillies chez le producteur, prenez les bien grosses, ce sont les meilleures !

Inutile d’éplucher la partie la plus tendre : cassez la simplement.

A l’aide d’un petit couteau, épluchez la base que vous cuirez plus longtemps (environ 10 minutes en autocuiseur ) pour diverses préparations ultérieures (velouté d’asperges , sauce à la crème et aspergesmousse aux asperges, soufflé aux asperges  ….)

La cuisson des pointes à l’eau (environ 8 minutes pour les grosses) est celle qui révèle le mieux le goût des asperges. On peut conserver l’eau de cuisson pour le velouté d’asperges.

Les asperges cuites peuvent se déguster froides, tièdes ou chaudes. On peut les réchauffer dans un four à micro-ondes au moment de servir.

Elle se marient bien avec une simple sauce à la crème et au citron, ou réchauffées avec des pennes ou des tagliatelles et une sauce à la crème et parmesan , du saumon fumé, des mousses de foies blonds,  des œufs brouillés ….

On peut aussi les consommer en gratin : ranger les asperges cuites dans un plat à gratin, les arroser de beurre fondu et les parsemer de fromage râpé (parmesan, parfait !) puis les faire gratiner à four chaud (260 à 280°C) pendant quelques minutes.

J’ai essayé aussi les asperges crues, coupées en  fines lamelles (carpaccio) , assaisonnées avec une vinaigrette aux herbes et à l’huile de noix : aussi bon que les jeunes courgettes crues, mais pas plus de goût !

et les asperges au four, pas mal du tout !

Et en attendant la fin du confinement, on peut en congeler pour ses enfants … il suffit de les préparer et juste de les plonger dans l’eau bouillante avant ! (les « blanchir », quoi  … pour qu’elles restent bien vertes !)

 

Mes essais de levain

Mes essais de levain

A cause d’une pénurie de levure sèche consécutive à l’épidémie de COVID-19, j’ai décidé de produire mon levain.

Au départ j’ai préparé un levain à partir de farine blanche et de levure de boulangerie fraiche (trouvée chez le boulanger)

Il suffit d’écraser la levure dans l’eau tiède et d’ajouter de la farine,puis couvrir hermétiquement le récipient avec un film plastique.

Attention, si l’eau est trop javélisée, cela risque de tuer la levure ….

Après utilisation pour la confection d’un premier pain, j’ai allongé le levain restant avec de la farine complète et de l’eau non javellisée, et décidé de conserver cette culture au réfrigérateur dans un bocal de confiture bien fermé.

Depuis, j’utilise ce levain également pour la confection de tourtous, et je le nourris à présent avec du petit lait et de la farine de sarrasin ou de la farie complète selon les jours !

C’est devenu un levain naturel probablement plus riche en bactéries qu’en levures.

Avant de l’utiliser, je le sors du réfrigérateur, le « réveille » en ajoutant petit lait et farine et en plaçant le bocal dans un saladier rempli d’eau chaude. Lorsque de grosses bulles apparaissent et que le volume du levain augmente, il est prêt à l’emploi.

Si je pense à le sortir la veille c’est encore mieux ! En ce cas pas besoin d’eau chaude mais une nuit complète dans la cuisine.

Après prélèvement de la quantité voulue, je le nourris à nouveau, le laisse lever puis le remet au frais.

Un article très intéressant ici >>>

Depuis la rédaction de cet article, j’ai fait d’autres tentatives plus intéressantes grâce à ce site >>>

Le couscous de bébere

Le couscous de bébere

Pour 6/8 personnes

Ingrédients :
1.5 kg de souris d’agneau
12 merguez
4 grosses carottes
10 navets
5 oignons
2 poireaux
4 branches de céleri
2 courgettes
2 boites de concentré de tomate
Beurre aux cristaux de sel
Raisins secs
Pruneaux
Gros sel

Épices (Quantités en caf généreuses, un peu moins pour la girofle…) :
Cumin 2 c à café
Gingembre 1 c à café
Cannelle 1 c à café
Coriandre fraîche quelques brins
Girofle 1 c à café
Poivre noir
Muscade
Mélange dispo sous le nom Ras el-hanout 6 c à café

Coupez grossièrement les oignons en rondelles et les faire revenir dans une cocotte (La plus grande possible) avec du beurre (aux cristaux de sel de préférence). Simultanément incorporez les épices.
Enlevez le vert des poireaux, fagotez les. Épluchez les navets, coupez les en 2. Tronçonnez les courgettes et les carottes, hachez finement la coriandre fraîche.
Une fois les oignons revenus, ajoutez la viande, les légumes et le concentré de tomate et remplissez la cocotte d’eau .
Laissez mijoter à couvert pendant 3 heures, l’idéal étant de le préparer la veille pour le lendemain!
Une fois la cuisson terminée, prélevez 4 louches de bouillon pour mettre les raisins et les pruneaux à gonfler pendant 3 heures.
Servez avec de la semoule fine.